بِسْمِ اللهِ الرَّحْمٰنِ الرَّحِيْمِ
Louange à Allah, Lui qui dissipe tout mal et accorde la clairvoyance ainsi que le discernement aux croyants sincères.
Mohammed ibn Ahmed
Al-Bassri a dit : « Les ténèbres de l’ostentation s’extirpent
du cœur par la sincérité et les ténèbres du mensonge par la lumière de la
véracité. » Al Hilya de Abou Nou’aym, Dham ar-riya (p. 118) de
Chaykh Yassine Al-’Adani رحمه الله
L’imam Rabi' Al Madkhaly
avait dit il y a déjà bien longtemps : « Rien n’a égaré les jeunes
de la oummah, et rien n'a égaré les gens sauf de se taire sur le faux. » Al Majmou' 436/15
Et il a dit: « La défense de la Sounna passe par la critique et l’éloge. » Tanbih al Fattin de Ch. Sa'd AzZa'ttary p.80
Et il a dit: « La défense de la Sounna passe par la critique et l’éloge. » Tanbih al Fattin de Ch. Sa'd AzZa'ttary p.80
L'imam, le Chaykh Mouqbil Al
Wadi’i a dit : « Personne ne s’est levé pour attaquer les
gens de la Sounnah sans chuter. » Tuhfat al moudjib, p.369. Et
aussi : « Celui qui dénigre les savants, qu’il sache que sa prédication partira et que la prédication des savants restera. »
L’imam Ahmad a
dit : « Celui qui rend menteur les gens de la véracité est un
menteur. » Tadhib al Kamal (l’imam Al Mizzi)
Ceci dit, « le
menteur ; on ne prend jamais de lui la science ». Cette parole vraie
de Mohammed ibn Hadi s’applique sur lui-même. Ses mensonges comptables dépassent
le nombre de quinze (voir en exemple le livre de Ch. Zakariya Al-’Adani, en arabe ici
" هل ثبت الكذب على د. محمد بن هادي المدخلي؟! ").
Ses attaques verbales et ses mises en gardes injustifiées ont atteint plus de quarante personnes (61 selon Ch. AbdouLlah AlBoukhari), parmi les grands savants, les chouyoukh et les étudiants dans le droit chemin (dont au moins 8 du Maroc).
" هل ثبت الكذب على د. محمد بن هادي المدخلي؟! ").
Ses attaques verbales et ses mises en gardes injustifiées ont atteint plus de quarante personnes (61 selon Ch. AbdouLlah AlBoukhari), parmi les grands savants, les chouyoukh et les étudiants dans le droit chemin (dont au moins 8 du Maroc).
A cela s’ajoute qu’il est menteur
et pervers conformément à la parole d’Allah (sourate An-Nour, v. 4 et 13) pour
avoir qualifié un prédicateur marocain de fornicateur sans aucun témoin. Ceci,
dans une maison d’Allah, lors de sa maudite sortie de son prétendu silence dont
l’audio s’est diffusé dans le monde entier. Puis, un an plus tard, le tribunal
saoudien a condamné Ibn Hadi sans tenir compte de ses demandes de favoritisme.
Pour les
traductions des paroles de Ch. Rabi’ et autres en détails, je conseille de revenir
au site francophone du frère Mehdi de Birmingham. Mais il y a un autre sujet
remarquable mettant en évidence une des contradictions entre Mohammed ibn
Hadi et ses partisans : le rejet de la critique du savant est un dénigrement
envers lui...
L’imam, l'érudit Abou Bakr
Al Khattib Al Baghdâdi (392 - 463) a dit :
« Et quand nous n’agissons pas en fonction de la parole du critiqueur, il y a en cela une accusation envers lui qu’il ment et une usurpation de son équité. » Al Kifaya vol. 1 p. 334.
« Et quand nous n’agissons pas en fonction de la parole du critiqueur, il y a en cela une accusation envers lui qu’il ment et une usurpation de son équité. » Al Kifaya vol. 1 p. 334.
Ce n’est pas un
sujet de discorde, et les savants comme As-Sakhawy puis l’imam ‘AbdouRahman Al
Mou’alymy, Al Albani et Ch. Rabi’ ont confirmé cette parole tout comme le fait
que la critique prévaut sur l’éloge si elle est expliquée.
Au mois de Rajab
1439, quand quelqu’un rejetait les insultes de Mohammed Ibn Hadi, certains lui
dirent : « Toi tu dénigres Chaykh Mohammed… » et ils invoquent
contre la personne ou la bloque, si cela se passe sur les réseaux "sociaux", comme si Ibn Hadi est infaillible, ou qu’il n’y a pas d’Islam sans lui.
Pourtant, on a entendu Ibn Hadi lui-même prétendre avec insistance, rage et
ardeur que le rejet de la critique du savant n’est pas un rabaissement
envers le savant !! Et ses fans propagent sa parole comme si elle est un
argument !
Au final, celui qui veut soutenir le faux se contredit
toujours.
Je conseille à moi
tout comme aux lecteurs de craindre Le Tout Puissant et d’être assidu aux
causes de la fraternité véridique comme Allah (élevé qu’Il est) nous l’a ordonné.
Je conseille de profiter des paroles d’Ibn Taymiya et Ibn Al Qayim qui traitent
des maladies de cœur et des causes du sectarisme. Je conseille de prendre garde
à la secte de Ibn Hadi en Algérie ainsi qu’au Soudan et de ne pas cacher la
vérité. Je conseille d’apprendre l’Islam par le biais des savants dignes de
confiance et ceux qui suivent leurs traces. Je conseille aux jeunes en France
et particulièrement en région parisienne de profiter des frères qui font de
bons efforts comme Ibrahim Abou Talha et Sadek Abou Yahya l’algérien.
Je conseille d’abandonner
le bavardage des menteurs et des petits joueurs qui veulent une prolongation
des troubles, ceci, surtout que certains d’entre eux ne comprennent que
quelques mots de la langue arabe. Beaucoup d’eux vivent dans un monde
imaginaire ou presque : des savants imaginaires, des sa’afiqua et des
moumaï’a imaginaires, des espions imaginaires, une mafia imaginaire, des
assises de consultation « bid'iya kharijiya » imaginaires et des
principes imaginaires…
Tu peux les voir
se réjouir des paroles de Mohammed Bazmoul sur l’affaire Ibn Hadi, ceci alors qu'il se contredit lui-même, mais aussi, il diffuse sur son compte des cours du mourji Abdoul’Aziz Raïss, connu depuis longtemps pour sa déviance, et
remercie un des pires moussa’fiqua !
Certains ignorants
pourraient dire ; pourquoi vous ne nommez pas moussa’fiqua
les savants comme l’imam Cha’bi, Ibn Al Qayim ou Soulaymane Ibn Sahman An-Najdy
qui ont employé le terme sa’afiqua ? La réponse est facile :
contrairement à Ibn Hadi, Azhar Sniqar et sa bande, ces grands savants précités
n’ont pas considéré que « sa’afiqua » fait allusion à une nouvelle
secte (plus vile que la secte des « Frères musulmans » selon Ibn
Hadi) envers laquelle il est obligatoire de se désavouer.
Et au-dessus de cela, ces savants n’ont pas fait de ce mot un sobriquet dirigé pour faire fuir des savants et de leurs grands élèves…
Et au-dessus de cela, ces savants n’ont pas fait de ce mot un sobriquet dirigé pour faire fuir des savants et de leurs grands élèves…
Rien de nouveau dans l'Histoire, sauf les noms de ceux qui pataugent et sèment les troubles. Certains d’eux
répètent mot pour mot ce que disait Falih Al Harbi l’égaré. Et pourquoi ont-ils
eu recours à la violence physique (comme cela a eu lieu en Algérie et en
Tunisie) si ce n’est qu’il y a eu l’instauration de l’alliance et du désaveu
pour autre que le Messager d’Allah, salla Allahou ‘alayhi wa sallam ?
J’ai
choisi d’écrire cet article résumé face à ce problème, car beaucoup de
francophones risquent de vivre dans la confusion pendant longtemps, ou de se
bachmiliser, ou pire ; de renier l’Islam. Mais la vérité a ses signes que
perçoivent les gens patients dans la modestie pour Allah (glorifié qu’Il est),
et comme a dit l’imam Ibnou Taymiya : « La fitnah ne survient que d’une de ces deux choses : soit du délaissement
de la vérité, soit du délaissement de la patience. » Al Istiquamah
Sans oublier la
bonne nouvelle que nous a fait le Messager d’Allah (salla Allahou ‘alayhi wa
sallam) : « Il ne
cessera d’y avoir un groupe de ma communauté qui se tiendra sur la vérité. Et
ils seront ainsi jusqu’à ce que vienne le commandement d’Allah (peu avant la
fin du monde). » Sahih Al Boukhari, hadith 7312. Tout comme il a dit :
« Je vous ai certes laissé sur une voie qui
est claire, sa nuit est comme son jour. Ne s'écarte de cette voie que celui qui
est en perdition. »
Par cette grande
épreuve, Allah a voulu distinguer entre celui qui chemine vers Lui avec piété
et celui qui suit sa passion, entre celui qui veut l’élévation de l’Islam et
celui qui veut l’élévation de sa personne ou une notoriété éphémère. Les
interventions et les répliques de Ch. Rabi’, qu’Allah le préserve, sont
toujours animées par la défense de l’Islam et la clarté de son appel, le rejet
de l’injustice et l’obligation de bien conseiller les musulmans. Ceci, à
l’opposé de cette nouvelle voie des moussa’fiqua qui est plus vile que la
haddadiya.
Voir ici sur Ch. Rabi'.
Voir ici sur Ch. Rabi'.
A suivre in cha
Allah.
AbdouSalam abou Yahya Al-faranssy
au mois de mouharam 1440, revu et terminé la nuit du 18 joumada Al Oula 1440
(23/01/2019), dans la capitale de l’Égypte.
La suite ici
Trad. AbdouSalam
L'imam Rabi' ibn
Hadi a dit dans son épître publié en 1433 (2012) :
« Il est clair (ou fort possible) que la
cause de cette grande fitnah, et ce qu'elle a engendré, est le silence des silencieux
; ceux qui refusent d'accomplir cette obligation temporaire (réfuter les
erreurs et les ambiguïtés, avertir la communauté). » "Clarification
de ce qu'il y a dans la nassiha d'Ibrahim Ar-Rouhayli comme faute et
manquement" p. 62
Le chaykh palestinien Raïd Al-Mihdâwi a dit dans
son troisième cours du charh ousoul as-sounnah, le samedi 05/01/1400 (15/09/2018) :
« Il y en a parmi les gens qui sont dans l'obligation de mettre en
garde, et le silence venant de ce type de personne n'est pas agrée, car son
silence nuit. Ceci, comme le silence de beaucoup de machaykh sur la fitnah actuelle ;
la fitnah de Mohammed ibn Hadi.
Leur silence fait nuisance, et trompe beaucoup les étudiants en science salafis. Mais pire, certains qui ont des objectifs malsains et de la faiblesse méthodique font de ce silence un argument et un tremplin pour attaquer ceux qui ont clarifié la réalité de Mohammed ibn Hadi. Donc le silence ne peut pas être accepté de tous. (...) Dans toute fitnah il y en a qui se taisent, puis la conséquence est la catastrophe qui sort de ceux qui s'assoient avec eux. »
Leur silence fait nuisance, et trompe beaucoup les étudiants en science salafis. Mais pire, certains qui ont des objectifs malsains et de la faiblesse méthodique font de ce silence un argument et un tremplin pour attaquer ceux qui ont clarifié la réalité de Mohammed ibn Hadi. Donc le silence ne peut pas être accepté de tous. (...) Dans toute fitnah il y en a qui se taisent, puis la conséquence est la catastrophe qui sort de ceux qui s'assoient avec eux. »
Ensuite, il cita l'exemple de Da'ich.
Trad. AbdouSalam
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