بسم
الله الرحمن الرحيم
Louange à Allah,
Celui qui guide vers la foi, puis que les éloges d'Allah et la paix soit
sur celui qui a dit : "Il ne sera pas fait miséricorde à celui qui ne fait pas miséricorde", Mohammed le Messager du Tout Miséricordieux vers l'ensemble des
humains.
Pour prévenir d'un mal, il faut savoir le définir correctement. Tout d'abord, soyons donc en accord sur ce qu'est le terrorisme.
"Le terrorisme (al irhab, en arabe) est l'agression perpétrée par
des personnes, des groupes ou des Etats, injustement contre l'humain, dans sa
religion, son sang, sa raison, son argent, sa personne. Ceci englobe les types
d'intimidation, de persécution, de menace et de meurtre sans droit,
tout comme ce qui a un lien avec la mafia et le banditisme.
Ceci, ainsi que tout acte de violence ou menace entrant dans l'exécution
d'un projet criminel individuel ou collectif ayant pour but de semer la peur
contre les gens, ou de les terroriser en les persécutant ou de mettre en danger
leur vie ou leur sécurité (...).
Tout ceci sont des illustrations de la corruption qu'Allah - glorifié et
élevé qu'Il est - a interdit aux musulmans, Il - élevé soit-Il - a dit
(selon le sens) : { Et ne cherche pas à corrompre sur
terre. Car Allah n'aime point les corrupteurs. } [Al Qassass (28),
77]." Fin de citation.
Telle est la définition légiférée établie à La Mecque lors du 16ieme
séminaire de la "Ligue islamique mondiale" entre le 21 et 28 du mois
de chawal 1422 (soit du 5 au 12 janvier 2002).
En bref, le terrorisme est une attaque injuste contre un ou des
individus méritant la sécurité.
Cela se caractérise par un trouble des idées et une vision obscure des
relations entre les gens. Par exemple, l'idée que la "modernité" est
un mal ou le fait de qualifier de "moderne" tout ce qui n'a pas de
lien avec l'Islam...
La première cause du terrorisme a un lien direct avec la personnalité du
terroriste, son état psychologique et l'évolution de ses idées. Au lieu de
balayer bêtement le rôle de la psychiatrie, il faudrait mieux donner à chacun les clés pour remédier au
terrorisme. C'est, de fait, un travail altruiste dans lequel
l'égoïsme et l'égotisme n'a pas de place.
Le terroriste est un corrupteur sans repères religieux fiables ; en lui bouillonne l'ambiguïté et l'isolement nocif... En lui se bouscule les considérations
circonstancielles, les changements et les revirements de situations en lien
avec le fil des événements dans notre monde.
L'ignorance de l'Islam chez les terroristes se revendiquant de l'Islam, ou
voulant œuvrer pour l'Islam, est souvent si profonde que cela dépasse toute
imagination. Ils ne distinguent pas entre un appel au Paradis et un appel au
sectarisme autodestructeur menant en Enfer. Pourtant, l'apprentissage de
l'Islam pour l'agrément d'Allah guide vers l'ouverture d'esprit, le bien-être
et la stabilité des idées. Ceci, sans oublier que c'est surtout, et avant tout, le chemin vers le Paradis.
Le terrorisme est extra jihad. Il n'est pas l'intimidation de l'ennemi trouvable dans le Livre
d'Allah, il est une inimité et une oppression incompatible avec le jihad
dans le sentier d'Allah. Il est une transgression des commandements d'Allah
dans le sentier de l'ignorance, de l'imprudence, de l'impatience, dans le sentier des
troubles et de la témérité.
Le terrorisme ne sort jamais de l'injustice et il est sujet aux multiples
contradictions, tandis que le jihad fait partie de l'Islam, une religion
qui interdit toute injustice.
A l'opposé du terrorisme, le jihad par les armes a ses causes, ses conditions, ses règles et ses limites. Ayant une maladie en eux, certains jouent avec les mots pour consolider les amalgames. Ils voudraient détruire la distinction entre le terrorisme et le jihad. Ceci est clairement un déni de réalité et une posture hypocrite partant d'une mauvaise intention. En effet, car en Islam la condamnation du crime et de la corruption n'est jamais une simple nuance relative, adaptable ou modifiable en fonction des passions et des situations.
A l'opposé du terrorisme, le jihad par les armes a ses causes, ses conditions, ses règles et ses limites. Ayant une maladie en eux, certains jouent avec les mots pour consolider les amalgames. Ils voudraient détruire la distinction entre le terrorisme et le jihad. Ceci est clairement un déni de réalité et une posture hypocrite partant d'une mauvaise intention. En effet, car en Islam la condamnation du crime et de la corruption n'est jamais une simple nuance relative, adaptable ou modifiable en fonction des passions et des situations.
Le malheureux perdant est cet insouciant qui laisse s'infiltrer dans son
coeur des croyances autres que la réalité. Ceci se nomme le mensonge. C'est une
perversité qui mène en Enfer. Le voleur ne pourrait voler que ton argent, mais
le menteur peut voler ta raison, ta saine nature et ta foi en Allah.
La crainte d'Allah et la sincérité envers Lui demeurent la grande
dissuasion empêchant de basculer dans le mal.
Tout comme nous ne pouvons pas mettre en danger des âmes sacrées, la
prévention du terrorisme ne peut pas être le monopole des charlatans
rancuniers. Nous ne pouvions pas éteindre le feu des
troubles en y jetant dessus des combustibles. Résilier avec le terrorisme, dit
jihadisme, commence par stopper l'attraction de l'idéologie kharijite. Hélas,
beaucoup de gens sont comme un malade ignorant de la médecine qui veut se
soigner par lui-même alors que près de lui se trouve un excellent médecin... Le
Messager d'Allah (salla Allahu 'alayhi wa salam) est le médecin des coeurs, et le
coeur d'un humain ne peut se réformer que par la connaissance de son message
avec la Foi en lui...
L'imam Ibn Taymiya a dit : « Le combat (al qital) est pour celui
qui nous combat si nous voulons exposer la religion d'Allah, ceci, car Allah a
autorisé de tuer des âmes en cas de besoin pour le bien des gens. Il a dit
(selon le sens) : {La mécréance (ou l'idolâtrie; la fitnah) est plus grave
que le meurtre} [Sourate Al Baqarah, 191], cela signifie que même s'il y a un mal
et une corruption dans le fait de tuer, il y a dans la fitnah des kouffar du
mal et de la corruption étant pire que cela. Celui donc qui n'empêche pas
les musulmans d'établir leur religion d'Allah, sa mécréance ne nuit que à lui
même. » Majmou' al fatawa 28/354.
Noyés dans leur entêtement si étrange que satanique, les
khawarij contemporains se comportent comme s'il n'y avait pas de temps de paix
en Islam mais uniquement l'ordre de la guerre en tout temps...
Cependant l'égarement ne s'arrête pas ici, puisque leur conception de la guerre et du combat n'a pas de lien avec la miséricorde absolue de l'Islam. En effet, il n'y a pas de Texte indiquant qu'aucun mécréant n'est épargné au moment du combat, bien au contraire comme l'a expliqué l'imam Ibn Taymiya dans ce que j'ai traduis ci-dessus.
Sa parole est générale. Nous trouvons aussi plein de détails chez les pieux prédécesseurs. Ainsi, l'exégète du Livre d'Allah et cousin du Messager d'Allah (salla Allahu 'alayhi wa salam); AbdouLlah ibn 'Abbas a dit en expliquant l'interdiction de transgresser dans le verset 190 de sourate al baqarah: "Ne tuez pas les femmes, ni les enfants, ni un vieux, ne tuez pas non plus un malade, ni un aveugle, ni un moine et ni un esclave." (Tafssir Ibn Abi Hatim). Il y a aussi unanimité que le Prophète (salla Allahu 'alayhi wa salam) a interdit de tuer les femmes et les enfants. Rapporté (sous différentes versions toutes authentiques) par l'imam Malik, Al Boukhari, Mouslim et Abou Daoud.
Cependant l'égarement ne s'arrête pas ici, puisque leur conception de la guerre et du combat n'a pas de lien avec la miséricorde absolue de l'Islam. En effet, il n'y a pas de Texte indiquant qu'aucun mécréant n'est épargné au moment du combat, bien au contraire comme l'a expliqué l'imam Ibn Taymiya dans ce que j'ai traduis ci-dessus.
Sa parole est générale. Nous trouvons aussi plein de détails chez les pieux prédécesseurs. Ainsi, l'exégète du Livre d'Allah et cousin du Messager d'Allah (salla Allahu 'alayhi wa salam); AbdouLlah ibn 'Abbas a dit en expliquant l'interdiction de transgresser dans le verset 190 de sourate al baqarah: "Ne tuez pas les femmes, ni les enfants, ni un vieux, ne tuez pas non plus un malade, ni un aveugle, ni un moine et ni un esclave." (Tafssir Ibn Abi Hatim). Il y a aussi unanimité que le Prophète (salla Allahu 'alayhi wa salam) a interdit de tuer les femmes et les enfants. Rapporté (sous différentes versions toutes authentiques) par l'imam Malik, Al Boukhari, Mouslim et Abou Daoud.
Les savants ont aussi dit qu'il est interdit de tuer le
travailleur, l'artisan, le domestique ainsi que l'handicapé physique ou mental.
De plus, le calife droit Omar ibn Al-Khattab a interdit de tuer les
agriculteurs en disant: "Craignez Allah dans les paysans qui ne vous ont
pas déclaré la guerre." Idem pour l'imam Al Awza'i.
En se penchant sur l'Histoire, nous constatons que les
ennemis de l'Islam pratiquaient un terrorisme sans limite. Alors que les
guerriers non musulmans atteignent des sommets inhumains dans l'injustice, l'Islam,
la seule vraie religion d'Allah approuve la sacralité des civils non
combattants.
Comme l'a dit AsSan'ani ainsi que l'imam Ibn
Taymiya, l'avis authentique est celui de la majorité des savants de l'Islam;
que le motif autorisant de tuer les mécréants est le fait qu'ils déclarent la
guerre aux musulmans. En effet, car si leur mécréance serait le motif, le Messager d'Allah (salla Allahou 'alayhi wa salam) n'aurait
pas ordonné d'épargner les enfants et les femmes d'entre eux. De plus, il
n'aurait pas indiqué le redoutable châtiment de celui qui tue un non musulman
se trouvant sous la protection des musulmans. La Sounna rejoint ainsi le
Qur'an.
Le savant Abdoullah ibnou ‘AbdiRahman Al-Basam, mort en 1423 (2002), rahimahouLlah, a dit :
« Celui qui médite sur la vie du Prophète (صلى الله عليه وسلم) constatera qu’il n’a jamais contraint à embrasser sa religion, ou qu’il n’a combattu que ceux qui le combattaient. Vis à vis de ceux qui concluaient avec lui une trêve, il respectait celle-ci tant qu’eux la respectaient, et il n’a jamais rompu son pacte.
Plus encore, Allah (سبحانه وتعالى) lui a accordé de respecter son engagement vis-à-vis d’eux, tant qu’ils le respectaient, ainsi Allah (سبحانه وتعالى) dit (selon le sens): {Tant qu’ils se montreront droits (ou loyaux) envers vous, soyez droits envers eux. Car Allah aime les pieux (al-muttaqûn).} [S. At-Tawbah (9), v.7]
« Celui qui médite sur la vie du Prophète (صلى الله عليه وسلم) constatera qu’il n’a jamais contraint à embrasser sa religion, ou qu’il n’a combattu que ceux qui le combattaient. Vis à vis de ceux qui concluaient avec lui une trêve, il respectait celle-ci tant qu’eux la respectaient, et il n’a jamais rompu son pacte.
Plus encore, Allah (سبحانه وتعالى) lui a accordé de respecter son engagement vis-à-vis d’eux, tant qu’ils le respectaient, ainsi Allah (سبحانه وتعالى) dit (selon le sens): {Tant qu’ils se montreront droits (ou loyaux) envers vous, soyez droits envers eux. Car Allah aime les pieux (al-muttaqûn).} [S. At-Tawbah (9), v.7]
Et lorsqu’il est arrivé à Médine, il a établi un traité de paix avec les
Juifs et a accepté qu’ils gardent leur religion; et ce n’est que lorsqu’ils l’ont
combattu et ont rompu ce pacte qu’il les a combattus. De même, ce sont les
mécréants de Qouraych qui ont cherché à le combattre, comme pour la bataille de
Ouhoud ou la bataille du fossé, de même pour la bataille de Badr, ce sont eux
qui se sont dirigés vers lui, et s’ils s’en étaient allés, il ne les aurait pas
combattus.
L’essentiel est que personne n’a jamais été contraint d’embrasser sa
religion, et les gens ne l’ont embrassé que par choix. La plupart des gens ont
embrassé l’Islam lorsque la guidée et le fait qu’il soit le Messager d’Allah
leur sont apparus. » Tawdih Al-Ahkam vol. 6, page 333, 334
Ceci dit, le terrorisme kharijite se dirige avant tout
contre les musulmans et leurs responsables quand ceux-ci font des fautes ou ce
qui est perçu comme péché par les kharijites. Pourtant, comme a dit l'imam Al
Mou'alimy (1386) : « Les musulmans ont expérimenté la rébellion (contre
leur gouverneur) et ils n'ont vu d'elle que le mal. »
Le savant Badroudine Ibnou Jama'a (639 – 733 H.) a dit:
"Si il se produit de l'imam ou du sultan ce qui fait de lui un pervers, il
n'est pas destitué pour autant de son imamat; pour cause de ce que cela
engendre comme perturbation et convulsion (trouble). Au contraire du quaddi (le
juge) si il advient de lui la perversité (al fousq), le plus juste est qu'il se
fait destituer." Al-Jami' A-Ra-iq, p. 253.
L'imam Al Baghawi (571 – 1122 G.) a dit: "Allah a envoyé l'ensemble de ses Prophètes avec l'institution de la religion, la concorde, le groupe en union (al jama'a) ainsi que le délaissement de la division et de le divergence." Tafssir Sourate A-Choura (42), verset 13
L'imam Abou Bakr Mohammed At-Tourtouchy (451
- 520), rahimahouLlah, a dit: « Sache, qu'Allah te guide, que l'époque
est le contenant de ses gens. La tête du contenant est meilleure que son fond,
tout comme le haut de la cruche est plus clair et plus pur que son fond. Si donc
tu dis: "Les rois d'aujourd'hui ne sont pas comme les rois d'avant", également,
les gouvernés ne sont pas comme ceux d'avant. Et que tu blâme ton émir par
rapport aux récits et aux exploits des émirs d'avant n'est pas plus vrai et
méritoire que ton émir te fasse reproche s'il se penche sur les récits des
gouvernés d'autrefois. Si donc le sultan te fait oppression, tu dois alors
patienter et le péché revient sur lui. » Siraj Al moulouk p.115, par le biais de Jami' Ar-raïq de Mahmoud All 'Awadd
Se regrouper pour se rebeller contre un dirigeant musulman fait partie du terrorisme définit ci dessus, ceci car le Messager d'Allah (salla Allahu 'alayhi wa salam) a interdit de combattre les dirigeants musulmans. Cette prohibition de la révolte et de la révolution en Islam est un signe de la miséricorde d'Allah; le mal qu'il peut y avoir dans l'injustice d'un dirigeant musulman envers certaines personnes est un mal moindre par rapport aux troubles que peut engendrer la guerre contre lui.
Se regrouper pour se rebeller contre un dirigeant musulman fait partie du terrorisme définit ci dessus, ceci car le Messager d'Allah (salla Allahu 'alayhi wa salam) a interdit de combattre les dirigeants musulmans. Cette prohibition de la révolte et de la révolution en Islam est un signe de la miséricorde d'Allah; le mal qu'il peut y avoir dans l'injustice d'un dirigeant musulman envers certaines personnes est un mal moindre par rapport aux troubles que peut engendrer la guerre contre lui.
Abou Mansour Al-Azhari Al-Harawy (282 - 370) a dit: « L'homme qui se frotte à sa religion est celui qui s'exerce dans les troubles (fitan) et les construit. Il sort (se rebelle) contre son imam (le gouverneur) et nuit donc à sa religion, ceci, sans pour autant que son exagération religieuse lui soit bénéfique. Ceci, comme un chameau galeux parmi les chameaux quand il se frotte contre un arbre; cela le fait saigner et il ne guérit pas pour autant de sa gale. » Tahdhib al-lughat 295/12, Al-Jami' Ar-ra-iq p. 194
Parmi les idées malsaines des terroristes kharijites, il y a le fait d'assimiler systématiquement l'amour d'un pays au nationalisme qui est contraire à l'Islam. En effet, il y a souvent dans leurs paroles un rejet exagéré du patriotisme (wattaniya) et du nationalisme. Cela va parfois jusqu'à un rejet du passeport et de la nationalité. Or, comme a dit un enseignant d'Egypte (le 13/02/1436 - 5/12/2014):
"L'affiliation à un Etat ou un pays de
naissance et d'enfance ne contredit en rien l'affiliation à la communauté de l'Islam,
tant que sont respectés en cela les limites de l'Islam." Voir ici en arabe.
Selon certains savants, le calife droit Omar ibn Al Khattab a dit: "Allah a donné longue vie aux pays par l'amour des patries."
Selon certains savants, le calife droit Omar ibn Al Khattab a dit: "Allah a donné longue vie aux pays par l'amour des patries."
Le pieux savant AbdouSalam ibn Barjass a dit: "L'amour du
musulman pour sa patrie (wattan) qui a été établit dans l'Islam et qui est devenu
la patrie des musulmans, ainsi que leur pays, est un amour légiféré, à la fois naturel et
religieux...".
Plus loin dans l'audio il cite la parole des enfants d'Israël au temps de Moussa (selon le sens): { Et qu'aurions-nous à ne pas combattre dans
le sentier d'Allah, alors qu'on nous a expulsé de nos maisons et qu'on a
capturé nos enfants? } [Sourate al-baqarah, v. 246]
Puis il dit: "Celui donc qui a une nature saine et
une religion droite trouve dans son coeur la sacralité de son pays comme la sacralité
de sa famille, de ses parents et de ses frères. Ainsi, certains sages ont dit:
La terre d'enfance plante dans les âmes une sacralité tout comme la
naissance plante dans le coeur une douceur."
Aussi, l'imam Ahmad An-Najmi a expliqué il y a plus de douze ans dans sa réfutation du
khariji Al-Maghrawi, qu'il y a dans la nationalité, les cartes d'identités, les
passeports et les frontières (qui ne datent pas du colonialisme) des intérêts
évidents pour les musulmans. Voir en arabe "A-dourar An-najmiya" p. 161.
La haine envers l'État saoudien est un des symptômes les plus flagrants de l'idéologie terroriste et kharijite.
Un enseignant de Médine (ville du Messager d'Allah, salla Allahou 'alayhi wa salam) a dit: "Le savoir (al 'ilm), la justice (al 'adl), la civilité (al mourou-a) et la raison; ces quatre choses sont celles qui empêchent l'humain de tomber dans le mal et ceux-là (les khawarij) sont en perte de ces quatre choses." Puis, il raconta l'histoire réelle d'un homme qui a grandi orphelin avec son cousin. Un jour il est partit se former pendant une session de 40 jours dans l'armée saoudienne... Quand il est revenu chez lui, son cousin l'a invité à une promenade dans le désert avec son frère. Il l'a ensuite ligoté; l'un d'eux filme pendant que l'autre le tua...
La haine envers l'État saoudien est un des symptômes les plus flagrants de l'idéologie terroriste et kharijite.
Un enseignant de Médine (ville du Messager d'Allah, salla Allahou 'alayhi wa salam) a dit: "Le savoir (al 'ilm), la justice (al 'adl), la civilité (al mourou-a) et la raison; ces quatre choses sont celles qui empêchent l'humain de tomber dans le mal et ceux-là (les khawarij) sont en perte de ces quatre choses." Puis, il raconta l'histoire réelle d'un homme qui a grandi orphelin avec son cousin. Un jour il est partit se former pendant une session de 40 jours dans l'armée saoudienne... Quand il est revenu chez lui, son cousin l'a invité à une promenade dans le désert avec son frère. Il l'a ensuite ligoté; l'un d'eux filme pendant que l'autre le tua...
Allah a dit (selon le sens): { Certes, Allah ne fait pas prospérer ce que font les corrupteurs. } [Younous, 81].
Egalement, une des caractéristiques des khawarij est le fait de prêter
allégeance au chef de leur brigade ou à leur pseudo calife.
Le chaykh yéménite Mohammed ibn Ghalib Al 'Umary, qu'Allah le préserve, a
dit en expliquant le statut de l'allégeance en Islam :
« Cette allégeance est réservé à l'autorité, il n'est donc pas permis au musulman de prêter allégeance à autre que son autorité, que ce soit une allégeance secrète ou publique, temporaire ou continuelle. Il n'est aussi pas permis que cette allégeance soit pour un parti, un groupe, une association, une agence, un particulier, un chaykh ou autre. Cette allégeance est une base légiférée qui ne peut être que pour celui à qui Allah, Sublime et élevé qu'Il est, a accordé l'autorité et c'est le gouverneur, toute allégeance pour autre que lui est invalide. » Qat' al khissam p. 10, 11.
« Cette allégeance est réservé à l'autorité, il n'est donc pas permis au musulman de prêter allégeance à autre que son autorité, que ce soit une allégeance secrète ou publique, temporaire ou continuelle. Il n'est aussi pas permis que cette allégeance soit pour un parti, un groupe, une association, une agence, un particulier, un chaykh ou autre. Cette allégeance est une base légiférée qui ne peut être que pour celui à qui Allah, Sublime et élevé qu'Il est, a accordé l'autorité et c'est le gouverneur, toute allégeance pour autre que lui est invalide. » Qat' al khissam p. 10, 11.
On remarque aussi, que malgré sa grande haine envers l'Islam, le tyran
libyen Mo'ammar Al-Qadafi avait quasiment le même type de mensonge contre
l'Arabie Saoudite que Oussama ben Laden... La méthode: laisser apparaître un
semblant d'amour pour l'Islam pour en fait attaquer l'État qui respecte le
mieux l'Islam et fait des efforts considérables pour le bien des musulmans dans
le monde entier (formation et envoi de prêcheur, aide aux pauvres et aux opprimés, bonne organisation du
pèlerinage, offre de livres, etc.)
Il
y a de notre temps des efforts de certaines personnes pour affaiblir les
musulmans. Quelles ruses et quelle thématique de prédilection chez ces gens ? Il y a le fait que les décrets et les conseils concernant
le jihad, et même la politique, soient le domaine privilégié des insolents et des hypocrites en lieu
et place des grands savants. C'est une volonté satanique récurrente voulant que
l'amour du jihad mène les musulmans (ignorants) vers la colère d'Allah et le châtiment
douloureux.
Dans
une chronique datee de décembre 2007, Romain Caillet présente l'imam Al-Albani comme
un "opposant au jihad" et une "référence quiétiste".
Mais en réalité, de
part sa piété, sa détermination dans l'apprentissage et sa persévérance dans cette
voie sublime qui mène au Paradis, l'imam Al-Albani est devenu une référence
dans l'ensemble des domaines de l'Islam. Il n'a jamais été un "opposant au
jihad", bien au contraire, comme nous pouvons toujours l'entendre
dans ses cassettes. Mais, de par sa science de la religion d'Allah, il mettait en
garde contre les révolutions, les attentats suicides et l'exagération dans le
takfir, n'en déplaisent aux intrus qui veulent intégrer ces choses dans le
jihad et les valeurs islamiques.
Romain
Caillet ressemble à ces "journalistes" mécréants qui, il y a déjà plus
de 20 ans, sortirent des États-Unis et de l'Angleterre vers le Pakistan pour
s’asseoir avec Oussama ben Laden et colporter son discours corrompu.
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Écrit par AdouSalam Abou Yahya Al Faranssy
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Excellent qu'Allâh te Préserve
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